Etudier la criminologie

Donner une définition claire de la criminologie serait impossible, les criminologues eux même n'étant pas d'accord sur le sujet.

Il est toutefois possible de dire que la criminologie regroupe plusieurs sciences: droit, psychologie, sciences humaines, ... Elle se sert en réalité de tout ce qui peut l'aider dans la compréhension du phénomène criminel : ses acteurs, ses racines, ses facteurs, ses conséquences, sa prévention, ...

La criminologie, ce n'est pas les experts, ni NCIS, ni rien de tout ca ! Attention aux fausses idées.

Dans le séries, police scientifique et judiciaire ne font qu'un, la réalité est autre. Jamais un officier de police judiciaire n'ira récupérer des preuves, ni l'inverse. Oubliez donc Grissom ou Oracio qui découvrent des cheveux et interrogent les témoins.

Quant a moi, je suis étudiante en criminologie a Montréal, après avoir eu ma licence de droit a l'Université Catholique de Lille.


Toutes les idées exprimées sur ce blog sont les miennes et n'engagent que moi, à vous de vous former votre propre opinion, je ne fais que vous y aider.

Je vais essayer de vous montrer les différentes possibilités qui s'offrent a vous pour étudier la criminologie, puis vous faire partager les cours que je suis, mes impressions, ...

N'hésitez pas a me laisser un commentaire si vous avez une question, je vous répondrai au plus vite, vous pouvez d'ailleurs me laisser votre mail.

Un simple message pour me dire que ce blog vous a aidé, me fait bien plaisir, merci à celles et ceux qui en prennent le temps !.

vendredi 19 novembre 2010

Master Criminologie te Droits des victimes

J'avais pendant un temps hésité à me diriger vers ce master.

En effet, il est très orienté vers le droit, il est d'ailleurs fermé à la plupart des autres filières comme la psycho.

N'arrivant pas à faire de copier coller de leurs objectifs, vous pourrez les trouver en cliquant sur le lien suivant : http://ufr-droit-eco-gestion.univ-pau.fr/live/digitalAssets/94/94412_Guide_Master_Criminologie_2010-2011.pdf


Je n'avais pas encore trouvé d'échos sur ce master, si ce n'est mon ancien professeur de pénal qui m'avait dit que comme en France nous étions loin loin loin d'être à la pointe en matière de criminologie, mieux valait oublier.

Au final, il s'avère qu'il semble avoir raison.

1. Nos professeurs nous rapellent fréquemment, lorsque nous analysons une méthode de réadaptation des délinquants, ou tout autre chose, que les français sont très frileux en la matière et restent sur leurs acquis du début du siècle. Et en disant cela j'entends bien sur les années 1900.
Par exemple en matière d'évaluation de la dangerosité. Il a été prouvé que certaines méthodes évaluatives ne fonctionnaient pas, mais elles restent majoritairement appliquées chez nous. Intelligent.

2. Nous sommes 4 francaises dans ma section "remise à niveau", nous nous connaissons donc toutes. Mais dans certaines matières, nous avons rencontré d'aitres françaises, venues en échange. De science po notamment. L'une d'elle, en revanche, vient de .. Pau. Elle effectue son master en échange. Je lui ai demandé comment étaient les cours.

D'après elle, Pau est vraiment à éviter. D'après ce qu'elle m'a racontée, il n'y a pas déchanges avec les professeurs, et certains ne viennent même pas. Vrai ou pas, voila ce qu'elle m'a dit.

De plus, elle a également souligné le côté très droit, très technique et pas du tout pratique comme nous le voyons au Canada.


A ceux et celles qui hésiteraient pour le M1 de Pau, voila le seul écho que j'en ai eu pour l'instant.

dimanche 19 septembre 2010

Suisse, Lausanne: Ecole des sciences criminelles

L'école propose deux formations principales, en police scientifique et en criminologie / droit pénal.


Il se définit comme la première école de police scientifique du monde fondée dès 1909. Il prépare en 4 ans des professionnels de haut niveau à l'ensemble des techniques utilisées aujourd'hui dans les sciences "forensiques" (ensemble des sciences permettant de résoudre scientifiquement les composants qui constituent des délits ou des crimes) L'institut accueille non seulement des étudiants mais intervient activement pour la formation des professionnels déjà en cours de vie active (formation continue)Le site Internet permet de découvrir cet enseignement dont les développements sont étendus.L'IPSC offre également un enseignement postgrade en criminologie



Bachelor en sciences forensiques = Les études en science forensique constituent une formation scientifique complexe et pluridisciplinaire, qui comprend, en dehors de ces dernières, des matières de sciences expérimentales comme la physique, la biologie et surtout la chimie, mais également une composante importante de sciences humaines (droit pénal, criminologie), de disciplines de la médecine (médecine légale) et de l'ingénieur (imagerie).
La proportion des travaux en laboratoires est très importante par rapport aux cours et séminaires.

Pour son Bachelor en science forensique l'Ecole des Sciences Criminelles emprunte des enseignements aux facultés de Droit, de Biologie et de Médecine, ainsi qu'à l'Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne. Seuls les enseignements du bachelor dispensés directement par l'Ecole sont présentés dans ce site dans la rubrique "enseignements".
Le Bachelor correspond a notre licence en système LMD; il est composé de matières majoritairement scientifiques comme l'identification de personnes, la trace numérique, ...
Master en magistrature: La Suisse ne connaissant pas d'école de la magistrature, le Master en magistrature offert par l'Ecole des sciences criminelles a pour objectif de donner à des personnes intéressées par les métiers de la magistrature pénale la possibilité d'accroître leurs chances d'y accéder. Il a également pour objectif de donner aux futurs avocats les bases nécessaires en matière de pratique judiciaire. C'est ainsi que, plus que tout autre Master en droit, le programme est principalement tourné vers des connaissances liées à l'instruction pénale, à l'audience devant le tribunal et à l'exécution des sanctions.
Ce master ressemble un peu à nos préparations aux concours, intéréssant donc, mais ici destiné aux futurs magistrats suisses.
Master en criminologie: Le Master en criminologie offre une formation assez variée et complète dans les sciences criminelles. Ouverte aux détenteurs d'un BA en psychologie, sciences sociales, droit ou toute autre discipline proche, elle prépare à une activité dans les secteurs de la police, de la justice, des services pénitentiaires et de probation, de l'aide aux victimes et des services sociaux. D'autres débouchés se situent au niveau de la recherche et des services de statistiques.

Présentation générale des études

Ce programme pluridisciplinaire touche aussi bien à la criminologie qu'au droit, aux sciences forensiques ou à la psychologie.
Le plan d'études varie en fonction du type de bachelor obtenu au préalable par l'étudiant.Au cours de la première année, les étudiants reçoivent une formation de base visant à mettre en place les connaissances essentielles à des études poussées en criminologie.
L'enseignement couvre plusieurs disciplines des sciences criminelles et forensiques ainsi que les méthodes de recherche. Parallèlement, ils suivent des cours à option dans les domaines de la criminologie qui les intéressent particulièrement.
Les étudiants ayant déjà suivi certains cours obligatoires dans le cadre d'un bachelor ou d'une licence peuvent obtenir des équivalences.

En deuxième année, les étudiants complètent leur programme de cours obligatoires et à options. Ils ont la possibilité d'effectuer deux stages avec mini-mémoire dans les domaines de la criminologie et de la pénologie, valant chacun deux crédits qui seront comptabilisés dans le bloc options. Simultanément, ils rédigent leur mémoire.

Examens

Pour l'obtention du grade de Master, une moyenne minimum de 4 est exigée ainsi que la réussite des épreuves correspondant à 90% des crédits. Les candidats doivent en outre réussir leur travail de dipôme.
Mobilité
L'Ecole a des accords avec la Sam Houston University (USA) et l'Université autonome de Barcelone (Espagne) pour la criminologie. Les semestres ou projets réussis à l'étranger sont en principe reconnus au retour des périodes de formation.
Il est possible d'effectuer des stages facultatifs en deuxième année de master dans la mesure des places disponibles.

Débouchés
Services de police aux niveaux cantonal, municipal (grandes villes), fédéral
Assurances
Banques
Recherche
Administrations publiques (système pénitentiaire, etc.)
Sociétés de surveillance
Régies fédérales (CFF, etc.)
Attention dixit l'école elle même ce master est une "Maîtrise universitaire en Droit en Sciences Criminelles, mention criminologie"
Il me semble que c'est tout pour Lausanne, l'ensemble des informations données ci dessus sont issues de leur site web : http://www.unil.ch/esc/page10115.html

samedi 11 septembre 2010

Analyse criminelle et analyse comportementale

En 2003 une commission a été chargée de se prononcer sur ces analyses, leur utilité, ...

Vous pouvez lire le rapport de la commission ou sa synthèse :

http://www.justice.gouv.fr/publications-10047/rapports-thematiques-10049/lanalyse-criminelle-et-analyse-comportementale-11923.html


Depuis la loi du 12 décembre 2005, et grâce à l'accord de la CNIL, l'utilisation de l'ANACRIM a été régularisée, bien que déja utilisée par la gendarmerie avant.

vendredi 10 septembre 2010

Quelles études après le bac ?

A ce sujet, je ne peux, déjà, que vous conseiller d'avoir fait un bas S ou ES. Un bac L pourra, bien évidemment très bien s'en sortir, mais, a mon avis, la réflexion dont doivent faire preuve les S et ES est plus approprié.

Bref, après le bac ?

Plusieurs choix, que je vais vous exposer, en vous donnant mon avis:

- la psychologie la psycho c'est bien beau, mais après, on fait quoi ? et oui imaginons que la criminologie ne vous plaise plus, aujourd'hui, avec un master de psycho, on ne fait pas grand chose, pour ne pas dire rien. Je vois la plupart des psychologues (attention, ne pas confondre avec le psychiatre) galérer à avoir une clientèle, trouver un emploi salarié, et la plupart cumulent généralement les postes, avec un bac +5, voir un doctorat ! J'ai actuellement avec moi, en classe, plusieurs étudiantes qui se sont tournées vers la criminologie "par dépis" car elles ne trouvaient rien au sortir de leur master. Attention donc.

- le droit c'est la formation que j'ai personnellement suivie. J'ai fini une licence en droit à l'université catholique de lille. Le droit avait, a mon goût, deux avantages. Tout d'abord de me donner une formation solide, avec des méthodes de travail rigoureuses, un esprit de synthèse. Ensuite, en cas de pépin (qui sait de quoi l'avenir est fait ?) le droit avait au moins le bénéfice de me préparer aux concours administratifs et de me permettre d'avoir un emploi. Évidemment tous les diplômés en droit n'auront pas un travail en sortant de la, c'est aussi la raison pour laquelle j'ai choisi "la catho".

- les sciences humaines je ne peux pas me prononcer sur la formation, je n'y connais strictement rien. Sachez seulement que la criminologie est une branche des sciences humaines.
- Science Po A mon goût, l'une des meilleures formations, alliant le droit, les sciences humaines, ... qui, comme le droit, vous prépare réellement a la vie active. Toutefois cette formation n'est pas a la portée de tout le monde

- l'étranger je l'ai appris trop tard pour moi même, mais sachez qu'il existe, au sortir du bac, des formations de criminologie. Tout d'abord a Lausanne, ensuite a Montréal. (je ne sais plus si la Belgique a créer une licence en criminologie) Je parlerai plus longuement de ces formations plus tard.

Etudier la criminologie - FRANCE

Pour étudier la criminologie, il n'y a pas cinquante choix.

En France, c'est d'ailleurs très compliqué, puisque la criminologie n'est étudié qu'à Pau dans un master de criminologie.

Voici l'adresse de leur site : http://criminologie.univ-pau.fr/

Mon avis: la criminologie se développe tout juste en France, je ne peux pas juger le master de Pau puisque je ne le connais pas, mais, et c'est mon avis propre, mieux vaut se former auprès de vrais professionnels, dont l'enseignement est reconnu, comme c'est le cas en Belgique, e Suisse ou au Canada.






Après une licence, ou parallélement, vous pouvez accomplir un certificat d'études, il existe a ce titre un Institut de Criminologie à Lille http://www.univ-lille2.fr/fr/facultes-et-instituts/institut-de-criminologie.html

Ce certificat n'est pas comptabilisé dans vos études, il ne compte pas comme une année LMD.

(Impossibilité d'accèder au site internet pour le moment, allez savoir)




A Paris, il exite diverses écoles privées, qui enseignent la criminologie, mais ne délivre pas toutes un diplome reconnu par l'Etat. C'est une formation, a mon avis, onéreuse et qui ne vous servira pas à devenir criminologue. Elles sont plutot approprier à des personnes bénéficiant déja d'un emploi, et qui voudrait se spécialiser encore plus ou acquérir de nouvelles connaissances.

De plus, attention, ces écoles sont souvent décriés.

Prenons par exemple l'IHECRIM.

Voici leur site web : http://www.ihecrim.fr/page.php?pages=1

Apparemment, leur diplome serait désormais reconnu. A voir.


Interview trouvée sur le site de studyrama :

L’Institut des Hautes Etudes en Criminologie, IHECRIM, est la première école pratique de criminologie en France. Centré sur un enseignement (,) de recherche et d’expertise en sciences criminelles, l’Institut bénéficie de l’agrément d’expert OIE. Laurent Montet, Criminologue expert et représentant l’IHECRIM, nous parle de son école et de la profession.

Quelles formations propose l’IHECRIM ?

« Nous proposons dans un premier temps des certificats universitaires d’expertise en sciences criminelles de 400h par 1 an :
Le Certificat Universitaire des Hautes Etudes en Criminologie (CHEC Niveau 1)
Le Certificat Universitaire des Hautes Etudes Pratiques en Criminologie (CHEPC Niveau 2)
Le Certificat Universitaire des Hautes Etudes en Expertise Criminologique (CHEEC Niveau 3)
Dans un second temps, il est possible de continuer en Master et en Doctorat de criminologie (en partenariat avec des universités étrangères).
Tous les profils sont les bienvenus. En effet, la criminologie est une discipline très large, très diversifiée. Nous acceptons donc tous les diplômes. Il faut cependant passer l’étape de pré-orientation (entretien téléphonique et questionnaire à remplir) pour évaluer la viabilité du projet et dans le meilleur des cas bien intégrer l’Institut (…) »

Qui sont les professeurs ?

« Les chargés de cours et les intervenants sont des professionnels (Magistrats, Avocats et professionnels du droit, Médecins légistes, Psychologues, Psychiatres, Travailleurs sociaux, Criminologues, Officiers de Police Judiciaire, Universitaires, Chercheurs, Experts, Agents privés de recherche, Journalistes). Tous abordent la formation d’une façon réaliste.
En effet, les cours sont à la base théoriques mais très rapidement pratiques avec des mises en situations, des simulations, des témoins et des reconstitutions d’affaires criminelles. Parfois même des victimes viennent contribuer au cours par leur témoignage, comme par exemple Patrick Dills, innocenté après 15 années derrière les barreaux. »

Le côté pratique de la formation se manifeste aussi par des stages je suppose

« Tout à fait. Les étudiants doivent effectuer des stages obligatoires en deuxième et troisième année. En quatrième année, ils sont en alternance école/ entreprise. Il existe trois types de stages : le stage de formation à la carte ou personnalisé, le stage sous convention d’entreprise, d’institution ou d’université et le stage d’échange national ou international, qui a pour objet la prise en charge d’un étudiant ou d’un professionnel pour une durée déterminée au sein d’une autre institution française ou étrangère en partenariat avec l’IHECRIM (…) »

Il y a-t-il des débouchés en criminologie ?

« En France, les diplômés de l’IHECRIM occupent le plus souvent des postes de spécialistes en criminologie (consultant, formateur, expert etc.), mais également de criminologues codifiés ou fonctionnarisés à l’étranger. De plus, nous voyons chaque année un nombre croissant d’admis qui se tournent vers la profession libérale de consultant-formateur en criminologie à titre principal en France. Ce qui démontre aujourd’hui l’existence de la demande et du champ porteur de la criminologie, malgré l’absence de codification dans l’hexagone de la profession de « criminologue » a proprement parler. Ce domaine passionnant peut donc être aujourd’hui un débouché professionnel viable comme activité principale ou spécialisation professionnelles dans ce cadre. »

Propos recueillis par Aziza Sellam



J'ai personnellement hésité à intégrer cette école, et face aux nombreuses critiques, tant des étudiants que des professionnels, j'ai abandonné l'idée.

Je ne trouve plus le site web, mais 'avais lu un article expliquant que le fondateur de l'IHECRIM avait déja créée une école de criminologie qui avait été fermée car , pour dire simple, elle n'était absolument pas fiable et était plus une pompe a fric qu'autre chose. J'essaye de retrouver le site pour étayer mes propos.



Je finirais en vous parlant de Sylvianne Spitzer. http://profiling.free.fr/
Cette dame est :


Psychologue de formation initiale (psycho du travail ET psycho clinique et patho), je suis diplômée de 3ème cycle dans les domaines de la criminologie (science du comportement criminel), de la criminalistique (science de la recherche d'indices) et de la victimologie (science de l’étude des victimes) de l'Université paris V.

J'ai suivi les cours du D.E.S.S. d'Ingénierie de la Sécurité de l'I.H.E.S.I. (Institut des Hautes Etudes de la Sécurité Intérieure).

J’ai une formation multidisciplinaire (et donc variée !!) : droit, sociologie, Langues’O (Japonais), addictions, biologie de la communication animale…

J’exerce la profession de psychologue en libéral et je pratique les thérapies cognitivo-comportementales.

J’interviens aussi auprès d’entreprise dans le cadre de diverses activités comme le recrutement, la formation mais dans le cadre d’expertises psychologiques (personnel, documents, lieux…).

Plusieurs de mes articles parus sont proposés ici sur ce site.

Depuis le 14 novembre 2001, j'ai mis en place l' Association Nationale des "Profilers" et Analystes Criminels (parue au J.O.) dont je suis la Présidente et qui a désormais le statut d’organisme de formation. Cette association a pour but premier de mettre en commun les connaissances des profilers praticiens. Depuis janvier 2008, l’association est en statu quo et tourne au ralenti du fait de judiciairisation de la profession d’analyste comportementale.

J’ai créé en janvier 2008 l’association SOS Hommes battus qui propose du soutien psychologique aux hommes victimes de violences conjugales.

J’ai été intervenante auprès du Centre national d'Etudes et de Formation de la Police Nationale ( CNEF - PN). Je suis aussi consultée par les forces de l'ordre pour avis consultatif sur des dossiers criminels.



Je suis membre de International Profilers Network , réseau qui regroupe une vingtaine de personnes de diverses nationalités chacune spécialisée en un axe du profilage (analyse de documents, profilage anthropologique, analyse psychologique, ...) et qui effectue des profils via Internet dans le but d'aider les forces de l'ordre de différents pays dans l'élaboration de profils de suspects.



Et pour finir, je suis doctorante en criminologie à l’Ecole des Sciences Criminelles de Lausanne (Suisse). Mon sujet de thèse est « les aspects victimologiques dans le processus de profilage criminel ».



Si son CV impressionne, on peut toutefois regretter les références précises de ses études, attention donc.
Par contre ATTENTION, vous y trouverez aussi :



Vous rêvez de devenir « profiler » ou « analyste comportemental » ?
Vous vous demandez si « profiler » et « criminologue » sont les mêmes métiers…
Vous vous posez des questions sur votre orientation en criminologie….
Vous vous demandez comment devenir « profiler »…
Quelle orientation prendre ?
Quel débouchés ?
Pour ne pas vous tromper, pour être sûr(e) de votre choix, venez poser toute vos questions en face à face à Sylvianne Spitzer psychologue, criminologue, criminaliste et profiler conseil

Consultation individuelle de 1 heure à Montrouge (92) : 120 €

(déplacement possible sur Paris ou RP : 150 €)

Bon, je vais essayer de faire, au mieux et avec les moyens, un peu la même chose, mais sans vous taxer d'un bras.

Je trouve, et la encore ce n'est que mon avis personnel, indécent d'oser demander 120€ pour renseigner un gamin (passez moi l'expression) sur son orientation.



A vous de vous faire votre propre opinion, je ne fais que vous donner mon point de vue et les informations dont je dispose.